Articles

Affichage des articles du octobre, 2012

Le Feu au bout des doigts

Image
Chaque semaine, après mon cours de danse tribale, j'essaie de noter mes mouvements avec la clé qui guide les followers à suivre le leader. Je fais des croquis et note les mouvements du mieux que je peux. Je le note d'abord pour moi, pour m'en rappeler. Je me disais que les diffuser ne servirait qu'à celles qui avaient comme moi suivit les cours, je ne pensais pas que ça serait, en quelque sorte, trop "clair". Je ne voulais causer du tord à personne, je pensais encore moins court-circuiter les droits ou les gens qui en vivent. Pour moi ce n'était même pas des dessins, juste des croquis pour aider mon cerveau défaillant. Je suis désolée si j'ai pu causer du tord, et je ne mettrais plus en ligne mes carnets. Je mets la dernière que j'ai déjà diffusé et où on ne voit pas grand chose...   Each week, after my tribal bellydance lessons, I try to note my movements with the cue guiding the followers to the leader. I draw some scraps and

Flash Mob ATS (PARIS)

Image
Je crois que je suis une addict de l'action. Dès que je me retrouve à rien faire, je déprime. Je dois être active. Je danse le lundi, le mercredi, le jeudi, et le weekend. Et les jours restants, je déprime. Alors j'essaie de remplir à fond chaque weekend. Par exemple, la semaine dernière, je suis allée en camp Médiéval avec Af'Avel, et j'en ai profité pour danser et connaître d'autres danseuses que je n'avais jamais vu auparavant. I think I am addicted to action. As soon as I have nothing to do, I feel depress. I must be active. I dance on monday, on wednesday, on thursday, and the weekend. And every other days, I am depressing. So I try to fill up my weeks. For exemple last week I went in a medieval camp with Af'Avel, and I used of the occasion to dance and to know other dancers that I never met before. J'avais entendu parlé d'un Flash Mob Tribal 3 jours avant. J'en ai un peu parlé avec Alex et les danseuses, et on a

3e cours d'ATS

Image
A chaque fois que je vais en cours d'ATS, je pars d'Orléans. Je prends ma voiture, je me gare au parking devant le tram. J’attends, le temps commence à fraîchir. Je me dis que bientôt ce sera pire, et espère que je vais tenir. Je prends mon gros sac sur l'épaule. J'ai des tas de choses à l'intérieur, pour la danse, la petite bouteille, la robe, la veste pour pas avoir froid, la ceinture, etc.. et pour dormir, le duvet, la trousse de toilette, les justificatifs, les différents billets, porte-feuille, etc... Ça fait lourd, je rentre dans le tram, et arrive à la gare. Là je dois encore chercher un billet pour le train. Je finit par m'assoir dedans, le trajet commence et je finis par dormir. Je suis déjà crevée. Arrivée à Paris, du monde. Du monde partout. Ils s'ignorent tous, c'est normal. Je m’engouffre dans les tunnels du métro, et je retrouve mes correspondances. C'est pas drôle, c'est normal. C'est quand je sors à Jacques Bonsergent que j&#